D’où vient cette musique si belle et si douce à la fois qui résonne dans le froid ?
Cette mélodie enchanteresse teintée d'une grande tristesse ;
Elle vient de partout et de nulle part à la fois ;
Et apaise mon âme de soldat ;
J'aperçois entre les arbres une femme avec un violon se déplaçant rapidement et avec grâce ;
Alors, jouant sa litanie, le brouillard la détacha de ma vue ;
Je cours dans la neige en quête de la musicienne qui ébranle tout mon être ;
Je la cherche désespérément dans ce monde arctique guidé par sa musique ;
Je l'aperçois tantôt à gauche, tantôt à droite, disparaissant dans le blizzard ;
Percevant enfin son visage, je tombe à genoux à bout de force ;
Paralysé par cette femme si belle, pure et blanche comme la neige ;
En un geste foudroyant, elle m’ôta le cœur ;
Mes yeux pleurait de joie, finie était ma lutte ;
Me sentant vidé de ma haine et de ma vie ;
Recouvrant la neige de mon sang écarlate ;
Et je mourus seul dans le froid ou personne ne me trouvera et ne troublera jamais mon
someil éternel.
Cette mélodie enchanteresse teintée d'une grande tristesse ;
Elle vient de partout et de nulle part à la fois ;
Et apaise mon âme de soldat ;
J'aperçois entre les arbres une femme avec un violon se déplaçant rapidement et avec grâce ;
Alors, jouant sa litanie, le brouillard la détacha de ma vue ;
Je cours dans la neige en quête de la musicienne qui ébranle tout mon être ;
Je la cherche désespérément dans ce monde arctique guidé par sa musique ;
Je l'aperçois tantôt à gauche, tantôt à droite, disparaissant dans le blizzard ;
Percevant enfin son visage, je tombe à genoux à bout de force ;
Paralysé par cette femme si belle, pure et blanche comme la neige ;
En un geste foudroyant, elle m’ôta le cœur ;
Mes yeux pleurait de joie, finie était ma lutte ;
Me sentant vidé de ma haine et de ma vie ;
Recouvrant la neige de mon sang écarlate ;
Et je mourus seul dans le froid ou personne ne me trouvera et ne troublera jamais mon
someil éternel.