Le vrai ressort de l’écriture, c’est notre fragilité, notre vulnérabilité, notre condition de passant incertain, passager de l’abîme, au milieu de tout ce qui, quoi qu’il advienne, est appelé à nous survivre.
L’écriture s’inscrit, ainsi, comme une chose infiniment fragil...
L’écriture s’inscrit, ainsi, comme une chose infiniment fragil...