L’ovale de ton visage m’apparaît à l’esprit
La délicatesse de ta peau
Douce comme un vent de printemps
Comme un bourgeon qui s’apprête à vivre
Mes pensées sont à la dérive
Tu m’envahies de ton odeur
De ton regard
Noir et froid
D’une profondeur troublante
D’une chaleur glaciale
J’ai le vertige