LE BOULANGER
Même le soleil
Au zénith le réclame,
Comme dans mes vers, je le déclame :
Ne le tuer pas, s’il vous plait
L’unique boulanger est la merveille
De la belle terre où tous, vous vivez…
Partout dans ce monde difficile
Nous avons tous perdu le fil ;
Pour l’argent et la gloire,
Nous fabriquons l’opprobre
De la pauvreté et de la misère ;
De janvier à décembre, tous, devenus sobres…
Nous avons voulu jouer
Dans la perversion avec le progrès,
Mais jouer n’est pas gagné,
La nature plus forte a repris
Le dessus et nous fait regretter
De jouer au plus fort ; mère nature en rit…
Nous avons voulu jouer
Avec la terre pour l’énergie,
En créant le nucléaire, une énergie
Nouvelle qui met l’homme en lumière
Mais surtout malheureusement, le régi
L’air, le feu, la terre et l’eau ont réagi…
Fukushima, les éléments se sont révoltés ;
La terre S’est mise à trembler,
Puis la mer a tout retourné,
Même une centrale a failli exploser,
L’homme a joué à l’apprenti sorcier,
La nature lui a mis une bonne fessée…
Puis comme notre instinct financier
A pris le dessus et notre orgueil il l’a terrassé
Nous voici soudain, le nouveau siècle arriver,
A vouloir de nouveau jouer et rejouer
À un poker menteur avec nos monnaies ;
Dollars, euros, or ou argent, les banquiers des peuples, ont manipulés…
Voici bientôt la fin d’un monde qui désire se briser…
Croyez moi, il ne mettra pas pour mourir toute l’éternité…
Ni guerres ni révoltes pour nous mettre en pauvreté…
Il suffit juste de tuer le boulanger…
Georges Adrien PARADIS le 27 juin 2012 à 00h30