Ton Corps Floralie
Transpercé je fus, ce jour, en le coeur,
Au goût de ta voix, donnant le tournis ;
Cible mouvante, je devins sans peur,
De cette flèche d’un jamais banni.
Besoin du touché ! sans quoi je m’étiole,
Envie de l’odeur, romance l’esprit
De ce libertin parfois très épris
Du romantisme, de lèvres si folles.
Fossettes cambrées raffolent idées
D’un voyage osé d’une peau rosée
Où s’ébruitent sons au glamour posé
D’étreintes aimées, savourées, guidées.
Risquer la folie à suivre jolie
En Pays connu de l’âme essayiste,
Me grise d’être le seul alpiniste
D’un corps floralie, jusqu’à l’embolie !
Oli ©Ton Corps Floralie
©(P) -01/03/02 à London (10p) Lon17
« C’est l’histoire d’un coup de fil et de tout
ce qui peut s’ensuivre, jusqu’au délire coquin »
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