...Océanide – Oliver Delabre
À la tombée d’un orage sans fin
Se parfuma Nymphe aux yeux savane
Sous une exquise lueur océane
Laissant planer bel Augure au matin.
Se murmura que Poète aux yeux faim
De son reflet pensé, y chantait fan
D’espoir à la croisée d’un soir pavane,
Où la courtiser serait séraphin.
Et déjà se lamenta Oraison
Du blanc manteau lovant bel horizon
Cachant exhalaison au Troubadour.
Océanide l’espérait en ses lèvres
Comme Orphée la désirait dans l’amour,
Zeus fana raisons grisées en leurs sèves.
Oli ©Océanide
©(P)-21/08/99 à Imogen (sonnet-10p)
*C’est l’histoire de deux amants, séparés par le temps, les raisons de vie*