Mercredi 18 juillet 2012 / 0294
Il n’y a pas d’autres limites à la création que sa propre peur et sa conscience du monde. C’est déjà beaucoup. C’est beaucoup trop. Mais l’une et l’autre étant assez élastiques …
Lorsque je m’en vais, chevauchant sur un vers, j’ai vingt ans et tout est possible.
Pour chaque mot, je revendique l’éclat du soleil.
Ce qui se passe, entre lui et moi, est comme une griffure de miel.
Alors tout un cortège sort de l’ombre.
Au zénith, les arbres.