Jeudi 29 août 2014 / 1059
Quand les rêves fleurissent mes jours d’été, je fabrique des souvenirs que tu pourrais avoir et que je n’ai pas eus. Ecrire est une ode à chacun des possibles. L’air s’épaissit et je pose quelques mots qui sèchent leurs ailes, frémissent et s’envolent. Ami, ne soit pas trop sévère avec eux, dès ce soir ils mourront, comme les éphémères. En aurais-je seulement saisi le sens !