Le père Noël
A fondu en larmes
- Esterina, M. de Saint-Michel, Laurence HERAULT et 1 autre aiment ceci
Posté par Minofabbri
- 24 décembre 2025 - 02:26
Posté par Minofabbri
- 18 décembre 2025 - 07:10
Posté par Minofabbri
- 17 décembre 2025 - 08:56
Même si on n'a pas la grosse tête, c'est agréable de se faire éditer : j(ai pu en faire l'expérience dans trois recueils de poésie , et c'était pour moi comme lancer une bouteille à la mer. Je vous souhaite bon vent !
Amicalement,
Patricia.
Merci Patricia. Dieu me garde d'attraper la grosse tête, quelle horreur! Etrangement lorsque j'ai tenu les exemplaires de mon premier livre "La Terre est plate comme une orange" entre mes mains, j'ai ressenti certes une certaine émotion mais comme on tient son bébé près de soi, cette chose qui nous ressemble et qu'on n'a pas envie de voir partir trop loin. Pourtant comme l'enfant devenu adulte, il faudra bien qu'il fasse sa vie sans nous. Voilà!
Posté par Minofabbri
- 12 décembre 2025 - 12:33
Posté par Minofabbri
- 10 décembre 2025 - 10:32
Est-ce du Molière du Marivaux
Un drame ou une comédie?
Qu'importe ses nombreux défauts
Vous les mettrez à mon crédit
C'est pour Justine, c'est mon cadeau
Une grande première , un inédit!
Dédicace pour ma fille Justine ( qui suit les cours Florent) lors de la parution chez Librinova de ma pièce "Deux aveux d'elle".
https://www.librinov...eux-aveux-delle
Posté par Minofabbri
- 10 décembre 2025 - 10:24
Beaucoup de délicatesse.
Oui le calme avant la tempête sans doute...
Merci pour ces mots aimables Cyraknow.
Posté par Minofabbri
- 05 décembre 2025 - 04:36
On écrit (de la poésie) d’abord et avant tout pour soi…
De la poésie, ou tout autre chose il est vrai. Mais comment expliquer ce besoin? Je suis persuadé que nous sommes tous des artistes en puissance, aspirant à la Beauté, tentant souvent maladroitement de l'approcher. Elle est en nous comme une tentation, et comme il est doux d'y succomber. Mais attention, l'assoir sur nos genoux peut être fatal! ( Rimbaud: Une saison en Enfer)
Ecrire pour soi d'abord pour se guérir oui, mais aussi pour partager ses tourments, ses joies, ses amours, sa condition de misérable mortel et qu'importe la forme!
L'important c'est de mettre des mots pour se divertir et oublier la mort! Bien à toi!
Voilà qui est parfaitement résumé! Amicalement
Tu n'es pas le seul à ressentir cela...
je n'écris pas seulement pour les autres ou pour moi, mais parce que c'est indispensable...
Comme dormir ou manger.
Merci pour ton poème.
Amicalement,
Patricia.
J'aurai dit la même chose en novembre mais les Fêtes approchent et je préfère quand même les huitres, le foie gras et une bonne bouteille de Chablis. Mais l'écriture au moins, c'est sans modération! Amicalement
Posté par Minofabbri
- 05 décembre 2025 - 04:24
Vous offrez là
une vive envie de lire vos pages
et aussi de voir Brazzaville
Merci
Merci pour cette appréciation, les livres de voyages, même écrits par des auteurs peu expérimentés comme cela est mon cas, offrent toujours des portes ouvertes vers l'évasion. N'hésitez pas à vous le procurer ( FNAC, AMAZON..." La Terre est plate comme une orange"). Tous mes droits d'auteur seront reversés à la recherche contre la cancer. Joyeuses Fêtes!
Posté par Minofabbri
- 03 décembre 2025 - 10:47
C’est peut-être dérisoire et sans doute inutile
Ecrire des histoires, deux ou trois mots futiles
Laisser voler sa plume tout en perdant le fil
De la vie qui s’en va
Mais la blessure d’hier que nul autre n’imite
Vaincue laisse briller un nouvel horizon
Et l’esprit le savoure sans crainte ni limite
Les mots deviennent baume, remède, guérison
Ecrire peu d’entre nous en vérité y songent
Pourtant quel miracle lorsque l’encre s’éponge
La poésie se meut en espoir dont je
Dirai qu’elle me sauva
Posté par Minofabbri
- 01 décembre 2025 - 02:01
J'aime beaucoup. C'est délicat et romantique !
Un très joli poème !
Amitié,
Patricia
Merci beaucoup Patricia pour ce gentil commentaire.
Amitiés
Posté par Minofabbri
- 28 novembre 2025 - 04:30
Posté par Minofabbri
- 27 novembre 2025 - 12:15
Pitch: Arnaud est appelé au chevet de son père admis récemment en soins intensifs. Il y apprendra deux secrets de famille qui ébranleront profondément son équilibre affectif au moment ou lui même doute de sa relation avec son compagnon Xavier.
https://www.librinov...eux-aveux-delle
Extraits:
Arnaud
Le passé ne m’intéresse pas, il est source de découvertes funestes, l’avenir est plein de promesses radieuses. Je ne regarde jamais en arrière c’est le royaume des ombres. Mes pensées sont tournées vers demain et elles te resteront inaccessibles. De la même façon je ne tenterai jamais de connaître tes rêves ni tes fantasmes, ils sont ton domaine réservé et doivent le rester.
Xavier
J’ai mal de t’entendre parler ainsi. La soudaine froideur de tes propos m’effraie. Je voulais que nous ne fassions qu’un.
Arnaud
Alors ce n’était pas de l’amour mais une illusion.
Posté par Minofabbri
- 16 novembre 2025 - 04:19
Nous, baby boomers, avons connu les trente glorieuses, la paix, la démocratie et la couverture sociale, une époque presque improbable au regard de l'histoire houleuse de l'Europe. Il nous arrive de douter que ceux qui naissent aujourd'hui en France puisse bénéficier de la même bénédiction. Mais le pire n'est jamais sur.
Et tant que le soleil brille, l'espoir est permis.
Posté par Minofabbri
- 23 septembre 2025 - 07:03
Posté par Minofabbri
- 11 septembre 2025 - 12:43
De retour dans ma chambre au dernier étage ma vue se porte de l’autre côté de la frontière qui sépare les deux Congo. En face de moi les lumières de Kinshasa brillent de mille feux, c’est un peu comme admirer Manhattan depuis les berges de Brooklyn. Mais ici aucun pont ne permet de franchir la distance. Brazzaville compte environ deux millions d’habitants, Kinshasa six fois plus. Elle trône, si proche, presque accessible, avec ses tours étincelantes, ses enseignes scintillantes qui captent le regard et trompent la sensation d’éloignement. C’est une star drapée d’or et de paillettes qui danse derrière un ruban d’argent, ce fleuve tumultueux et infranchissable où nagent les poisson-tigres, énormes carnivores d’eau douce qui dévorent les petits crocodiles. Elle m’invite à la rejoindre, sauvage, rebelle indomptée, africaine à mille pour cent. Je voudrais appeler un taxi pour m’y rendre mais les flots rugissants larges d’un kilomètre m’en défendent. Sa respiration bruyante et saccadée surclasse les maigres décibels de notre rive maintenant apaisée. La rumba y gronde ses basses dans tous les maquis, elle y roule des hanches jusqu’au bout de la nuit, jusqu’à plus soif. Son patronyme sonne comme un nom de déesse : Kinshasa ! Un jour je viendrai goûter à ta folie nocturne, à tous tes excès, tes guet-apens. Kin-la-Belle, attends-moi !
Extrait de mon livre " La Terre est plate comme une orange" paru chez Hello Editions sous le pseudonyme D.B.FABRE.
L'intégralité de mes droits d'auteur sera reversée à la Ligue contre le Cancer.

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