Lisange

Merci balila,

Une poésie tout en tendresse

Assaisonné au sel de l'ivresse

Un bain mélangé d'eau de mer

Et de sable au travers

L'amour se berce

Entre des bras tendresse

Il y si longtemps, il est né

Sur une croix, il a expié nos péchés

Ceux de cette époque

Une flèche dans la côte

Il a dit: je reviendrai

Pour nous sauver? 

Encore...à notre temps

Il serait temps

Merci pour ce poème, M. de Saint-Michel

Bonne Année!

Quel plaisir j'ai a vous lire!

Ces mots, ces phrases qui défilent

Un long fleuve intarissable

Dont je suis insatiable

Je me délecte chaque fois de votre jolie plume!

Merci et BRAVO!

Laurence,

J'aime la simplicité de vos poésies,

La réalité, l'instant bien décrit.

Merci encore une fois!

Une belle envolée de pétales

J'ai adorée!

Mes fleurs de lilas

Que j'ai vu disparaître au vent

Tombeés sur le balcon en tourbillonnant

En amas, une poudrée blanche...

Le rêve

Une trève

L'échappée d'une peine

Tout se peut en rêve

Y être...sans y être..

.

Sans pouls battant dans les veines 

J'ai vu le train partir dans la seine

Je t'ai vu disparaître

Emportant mon coeur et ma peine

Oh! la peur d'être aimé!

Ou la peur d'aimer...

Trop de passion peut brûler

Oh! l'apprivoiser lentement

Confiance, un coeur peut s'épancher

Sans hâte, durablement.

Merci pour cette belle poésie de l'inatteignable déesse!

Bravo pour ce texte poétique!

Que de beaux souvenirs

À contre-courant

Revenir à l'étang

Revoir les nénuphars qui s'y mirent

Patricia Moles,

Merci d'être passé sur mes quelques lignes poétiques.

Au plaisir de vous lire!

Tu ne te souviens plus de moi

Tu ne reconnais plus personne

Même pas la sensation du froid

Partout le vide résonne

Tes yeux amoureux

Plus jamais, n'illuminent

Ton rire si joyeux

Plus jamais, ne fascine 

Le vide

Que du vide!

Merci Patricia, un poème simple qui relate bien la réalité de cet état d'absence! 

Merci M. de Saint-Michel,

Oui osmose,

Presqu'une bataille entre les frappes au piano et l'orage au dehors

Une escalade d'éléments se chevauchant

Et parfois s'entremêlent ensemble

Un duo, presqu'un duel

Et puis, des étincelles....

Merci Emrys,

Il faut garder son coeur d'enfant

Ils voient les choses bien différemment

Simplement pour ce qu'elles sont

Et la chanson de Patrick Fiori et Florent Pagny,  "Joli fantôme qui nous hante"  est tellement magnifique autant dans le texte que dans l'interprétation.  De magnifiques voix.

"Entendez la voix des gens, rendez justice,

Corrigez les inégalités pour trouver la paix"

À ces voix, il y a sourde oreille

Aux inégalités, il y a ceux qui profitent

À la paix, il y a le prix à payer

Merci pour cette poésie remplie de vérités!

J'écoute les enfants, ils sont sans voile

Ils aiment la lune, sèment des étoiles

Ils laissent l'amour fleurir

Dans d'innocents sourires

Ils rêvent aux lutins dans le ciel

Ils croient toujours au Père Noël

Ils chantent leurs croyances

De la magie et des miracles

Aux traits de pinceaux, s’invente un roi

Ils créer de leurs petits doigts

Un bonhomme de neige jusqu’au printemps

Ils s’inventent reine ou prince charmant

Ils savent t’aimer éperdument

Sans rien demander, naturellement

Ils te voient vieille, un peu vieux jeu

Quand tu t'endors auprès du feu

Ils préfèrent dormir en cajolant

Le chaton de laine de grand-maman

Ils te racontent le secret si bien gardé

De la princesse et du chevalier

Ils demandent aux nuages gris

Pourquoi ils ont pleuré?

Et si les fées au ciel

Peuvent les changer en arc-en-ciel

Dehors près du chalet s’étend la rive

Un courant d'air frais, des vagues vives

Des nuages lourds poussés par le vent arrivent

Suivi des éclairs sous une pluie qui pétillent

Le ciel s'endiable, se noircit d'épais nuages

L'orage pique l'eau, gonfle les vagues

Mes pieds soulèvent la vase sur mes mollets

L'averse à mon front gomme mon toupet

Au cottage, je file derrière la grande vitrine

L'horizon moiré sur mes paupières me taquine

Derrière moi, l'instrument sous ces doigts goupille

Les marteaux du vieux piano frétillent

Moi, lui, sa passion mise à nue

Sa voix, son piano, l'orage, tous confondus

La bouche ouverte par les éclairs tapant le lac

Diable...une attaque!

Une lueur multicolore pénètre l'eau

L'éclair s'élance sur son "do"

Sa joute ardente me frappe

Ah! le flamboyant spectacle

J’ai reconnu la piqure mortelle

Dans sa cantonade passionnelle

J'ai assisté à tout cela fort étonnée

Oh surprise! ma propre vérité

La sueur sur son front

L'allégresse dans le ton

Le rouge de l'horizon

Il m'a transmis son tison

Brûlée vive

Sous l'orage et sa passion