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Des êtres nos subjuguent
Il reste leurs âmes en nous.
Et nous nous en nourrissons,
Tant que la vie nous est offerte.
- Julien Hoquet et Laurence HERAULT aiment ceci
decker
Inscrit(e) : 06 déc. 2005Hors-ligne Dernière activité : févr. 15 2023 09:08
#394150 Un phare dans la tempête
Posté par
- 12 décembre 2021 - 10:19
Amicalement...
Des êtres nos subjuguent
Il reste leurs âmes en nous.
Et nous nous en nourrissons,
Tant que la vie nous est offerte.
Des êtres nos subjuguent
Il reste leurs âmes en nous.
Et nous nous en nourrissons,
Tant que la vie nous est offerte.
#394147 Je sais, le fardeau est lourd
Posté par
- 12 décembre 2021 - 10:10
Rester digne et résister..
- Dad Allaoua aime ceci
#394146 Flagrance de canne du capitaine
Posté par
- 12 décembre 2021 - 09:36
La dernière gorgé,
Au fond du trou.
De son ambre boisé,
Un parfum flotte dans l'air.
La subtile goûte,
Au bout des lèvres.
Son sirupeux épicé,
Relève les contours dessinés.
Un capitaine à la barre,
Dans une tempête incontrôlables.
Cap sur une île au trésors.
Fantasmagorique, imaginaire.
Aussi rond que ses barriques
Aussi plein que ses tonneaux,
Il tient, las, cette barre.
Il garde son cape.
Et il presse son pas,
A la cave du diable.
Rêvant que le cumilonimbus s'effacent
Laissant place au dieu soleil.
Une flagrance délicate
Perce la couche nuageuse.
Parfum de canne brûlée,
Enivran l'atmosphère.
Au fond du trou.
De son ambre boisé,
Un parfum flotte dans l'air.
La subtile goûte,
Au bout des lèvres.
Son sirupeux épicé,
Relève les contours dessinés.
Un capitaine à la barre,
Dans une tempête incontrôlables.
Cap sur une île au trésors.
Fantasmagorique, imaginaire.
Aussi rond que ses barriques
Aussi plein que ses tonneaux,
Il tient, las, cette barre.
Il garde son cape.
Et il presse son pas,
A la cave du diable.
Rêvant que le cumilonimbus s'effacent
Laissant place au dieu soleil.
Une flagrance délicate
Perce la couche nuageuse.
Parfum de canne brûlée,
Enivran l'atmosphère.
- Dad Allaoua, M. de Saint-Michel, patricia moles et 1 autre aiment ceci
#394145 Chant des sirènes
Posté par
- 12 décembre 2021 - 09:35
#394029 Faudra-t-il que je meure ?
Posté par
- 07 décembre 2021 - 11:47
Très touchant...
- chevalier dupin aime ceci
#394028 D'une statue
Posté par
- 07 décembre 2021 - 11:40
Elle est donc si belle, si sensuelle...
D'une beauté éternelle,
Drapée de ses mots méticuleusement choisis,
Elle se vêtirait de la splendeur de ses vers.
Merci pour ses vers
D'une beauté éternelle,
Drapée de ses mots méticuleusement choisis,
Elle se vêtirait de la splendeur de ses vers.
Merci pour ses vers
- M. de Saint-Michel aime ceci
#394027 Un phare dans la tempête
Posté par
- 07 décembre 2021 - 11:16
Quelques vers très touchants.
Un amour immense en filigrane.
Quoi d'autre nous ferai tant souffrir ?
Au delà de cette impuissance, l'amour.
Il faudra s'avouer hélas que la puissante lumière du phare qui nous guide et nous irradie, un jour ou l'autre, devient diffuse...
Mais il restera toujours la lumière du coeur.
Amicalement,
Un amour immense en filigrane.
Quoi d'autre nous ferai tant souffrir ?
Au delà de cette impuissance, l'amour.
Il faudra s'avouer hélas que la puissante lumière du phare qui nous guide et nous irradie, un jour ou l'autre, devient diffuse...
Mais il restera toujours la lumière du coeur.
Amicalement,
- M. de Saint-Michel, Julien Hoquet et Laurence HERAULT aiment ceci
#394023 Chant des sirènes
Posté par
- 07 décembre 2021 - 10:20
#393950 Chant des sirènes
Posté par
- 04 décembre 2021 - 03:12
Un ameçon sans appât
Immergé dans ce lagon tumultueux
Sans point de croyance,
Que la prise sera féconde.
Quelques manuscrits plus tard,
Quelques avidités charnelles,
Pèle-mêle avouées.
Désormais, ce sentiment partagé,
De cette nécessité, l'un de l'autre.
Un besoin de se blottir.
Des pulsions nocturnes à se donner,
A s'esquisser mutuellement à nos rétines.
Nos charmes se croisent et s'attirent
Tandis que nos chairs se cherchent encore.
Nos désirs se complètent,
Quand nos actes se griffonnent en fantasmes.
Soif de se combler, se sentir convulser,
De voir scintiller les étoiles du bonheur.
Fureur de se sussurer des mots doux.
Une appétence Incoercible à ouïr,
L'Hymne jubilatoire de nos nudités rassasiées.
Nous roucoulerons le chant des sirènes.
Immergé dans ce lagon tumultueux
Sans point de croyance,
Que la prise sera féconde.
Quelques manuscrits plus tard,
Quelques avidités charnelles,
Pèle-mêle avouées.
Désormais, ce sentiment partagé,
De cette nécessité, l'un de l'autre.
Un besoin de se blottir.
Des pulsions nocturnes à se donner,
A s'esquisser mutuellement à nos rétines.
Nos charmes se croisent et s'attirent
Tandis que nos chairs se cherchent encore.
Nos désirs se complètent,
Quand nos actes se griffonnent en fantasmes.
Soif de se combler, se sentir convulser,
De voir scintiller les étoiles du bonheur.
Fureur de se sussurer des mots doux.
Une appétence Incoercible à ouïr,
L'Hymne jubilatoire de nos nudités rassasiées.
Nous roucoulerons le chant des sirènes.
- M. de Saint-Michel, Thomas McElwain, Minofabbri et 2 autres aiment ceci
#393608 A moitié vide
Posté par
- 18 novembre 2021 - 06:23
Oui Patricia,
Plus facile à dire...
Mais je comprends vton point de vue.
;-)
Bises
Plus facile à dire...
Mais je comprends vton point de vue.
;-)
Bises
- patricia moles aime ceci
#393607 Je résiste.
Posté par
- 18 novembre 2021 - 06:20
Bonsoir Edith
Détester à en crever
Aimer à en s'émerveiller
Antipodes de nos émotions conflictuelles,
Pour un art de vivre à maintenir l'équilibre.
Merci de votre lecture.
Détester à en crever
Aimer à en s'émerveiller
Antipodes de nos émotions conflictuelles,
Pour un art de vivre à maintenir l'équilibre.
Merci de votre lecture.
- patricia moles et Edith aiment ceci
#393606 Je désire bien me relaxer
Posté par
- 18 novembre 2021 - 06:14
#393427 Il est bien là
Posté par
- 11 novembre 2021 - 11:16
Une fresque extérieure,
Apprêtée de sa longue tunique grise.
Le hublot clos, voit dévaler les gouttes,
Sur son Vitrail partiellement givré.
Une brume lourde et touffue,
Électrise notre atmosphère.
Des logis aux abattants clos,
Enfument de leurs effluves boisées.
Au fond du jardin,
Le cerisier abrège sa mue,
Se séparant de son costume saisonnier,
Laissant choir sa frondaison dorée.
Il est bien là...
Apprêtée de sa longue tunique grise.
Le hublot clos, voit dévaler les gouttes,
Sur son Vitrail partiellement givré.
Une brume lourde et touffue,
Électrise notre atmosphère.
Des logis aux abattants clos,
Enfument de leurs effluves boisées.
Au fond du jardin,
Le cerisier abrège sa mue,
Se séparant de son costume saisonnier,
Laissant choir sa frondaison dorée.
Il est bien là...
- M. de Saint-Michel, Thomas McElwain, patricia moles et 1 autre aiment ceci
#393382 A moitié vide
Posté par
- 09 novembre 2021 - 02:00
Bonjour Patricia,
Merci pour cette lecture.
Un amour puissant de la vie, nourri par les amertumes et les regrets quotidiens.
Une sensation aigre douce que la vie ne vaut d'être vécue que dans des relations rugueuses.
Amicalement.
Merci pour cette lecture.
Un amour puissant de la vie, nourri par les amertumes et les regrets quotidiens.
Une sensation aigre douce que la vie ne vaut d'être vécue que dans des relations rugueuses.
Amicalement.
- patricia moles aime ceci
#393374 Je résiste.
Posté par
- 09 novembre 2021 - 09:36
Bonjour,
Oui Michel, restituer, c'est être et renaître.
L'analyse est juste Patricia.
Une profonde peine en perpétuel conflit avec cette envie de vivre sans compter.
Amicalement à vous deux
Oui Michel, restituer, c'est être et renaître.
L'analyse est juste Patricia.
Une profonde peine en perpétuel conflit avec cette envie de vivre sans compter.
Amicalement à vous deux
- M. de Saint-Michel et patricia moles aiment ceci
