Je ne sais comment les oiseaux trouvent la force de chanter, dans les arbres couverts de neige. Obéissent-ils à je ne sais quel dieu qui, de toute éternité, leur a intimé l'ordre de chanter le déclin du jour ? Leur joie tient à cette évidence : le soleil, la lumière reviendront demain !
Nous autres humains, nous savons que, quand le soleil se couche, il se lève, quelque part, pour d'autres. Mais nous avons, au coeur, une interrogation, en forme de blessure : les rires, les premiers émois de l'amour reviendront-ils, dans notre vie ?
Déjà, le temps qui passe a griffé notre visage, embrumé notre esprit. L'hiver d'une vie n'est suivi d'aucun printemps ! Mais je tiens la plume, et je ne sais comment les oiseaux trouvent la force de chanter, dans les arbres couverts de neige.
Nous autres humains, nous savons que, quand le soleil se couche, il se lève, quelque part, pour d'autres. Mais nous avons, au coeur, une interrogation, en forme de blessure : les rires, les premiers émois de l'amour reviendront-ils, dans notre vie ?
Déjà, le temps qui passe a griffé notre visage, embrumé notre esprit. L'hiver d'une vie n'est suivi d'aucun printemps ! Mais je tiens la plume, et je ne sais comment les oiseaux trouvent la force de chanter, dans les arbres couverts de neige.
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