3 réponses à ce sujet

[Jérôme N.]

Quand l’absence étend son ombre
Comme la nuit son empire,
Mon âme se vide et sombre.
Comme la mer se retire,
Mes sens ne sont que décombres
Qui après ton Nom soupirent.

Consolations perdues…
Je t’appelle et te désire.
Bienheureux ceux qui ont cru,
Qui par grâce purent dire :
“Mon Dieu !” sans avoir vu.
Entendrai-je encor ta lyre ?

Aux cimes de la foi pure
Où le silence s’étire,
Où nul horizon n’est sûr,
La chair doit alors mourir.
Je ne suis plus que l’azur
Et l’Esprit y est zéphyr !

[M. de Saint-Michel]

J'aime beaucoup...

[claus]

un appel de la foi vibrant au travers de tes vers, on aimerait tous, je pense, quitter cette vallée de larmes pour devenir Zéphir.

[Jérôme N.]

Oui, certains jours plus que d'autres peut-être...

Merci pour votre appréciation.