Toute partition se dessine par une portée :
Trois temps pour une danse de jadis ;
Un temps d’innocence,
Un temps de responsabilité,
Un temps de décadence
Dissolues dans une valse du temps ;
Un pas de plus pour tournoyer,
Un chemin d’une danse qui isole
Les notes évanouies des instruments.
Puis, le battement d’un silence à l’arrêt
Prend un air audacieux pour quelques notes :
Une note blanche qui égale 2 notes noires
Une course dont les muses sont des clefs ;
Doucement la pulsation délire
Répète en résonnance
Fastidieuse harmonie
Soldat rythmique du temps,
La mélodie demeure
Si dans nos cœurs
Doucement encore, joue le piano de la vie.
- silver, M. de Saint-Michel, Julien Hoquet et 1 autre aiment ceci