Bimena

Merci pour vos remarques, mais en fait, je parle à mon âme. Âme que je pense mettre en peine à plusieurs égards.

Amie, mon amie ! je suis ému.

Que de souffrances

N’as-tu pas connues ?

Que de malheurs n’as-tu avec endurance

Pas vécues par ma faute 

Et par la faute de mes prédécesseurs ?

 

Toutes mes errances, mon ignorance,

Toute ma bêtise, ma naturelle décadence.

Je t’ai enténébrée, et tu n’es plus qu’une ombre.

Toi ! autrefois lumière, maintenant ombre.

A présent je réalise que tu vis la souffrance

Tu la vis dans ma totale indifférence.

 

Je reconnais de suite, ton amour qui parle dans le silence

S’exprime alors dans ta sérénité toute ta grande souffrance.

 

Il est bon que tu m’aimes

Parce que tu m’as toujours aimé

Il est bon qu’à présent je t’aime

Parce que je ne t’avais jamais aimé.

 

Comment aurais-je pu encore t’aimé ?

Puisque longtemps je t’avais oubliée.

Enfouie dans ton coin du milieu

Au lieu de l’or,

Au lieu de la grotte,

Je voyais du sombre et pâle bleu.

 

Le bleu noir des enfers et du malheur

Qui ne t’empêchait de vouloir répandre le bonheur

Dans ma si triste, malheureuse et tourmentée vie

Succombant à chaque fois, à mes folles envies.

 

Je viens et j’accours à toi

Dans ta force infinie, étreints-moi !

Dissipe la froideur de mon cœur

Purifie-le de ta chaleur.

 

Il est doux que nous soyons ensembles

Qu’il est bon que je te connaisse à nouveau.

Car, tu es mon salut dans cette vie et dans l’éternité.

Merci bien pour ce chaleureux accueil et surtout pour la franchise

Le vent souffle, souffle et souffle encore...
La tempête de répand
Les ténèbres s'épaississent.

L'entropie arrive, hache à la main...
Elle fait son travail avec sérieux et minutie...
Et les choses continuent leur galop.

L'ignorance peu à peu recule...
Une faible lumière perce les ténèbres...
Un cri monstrueux se fait entendre...
Voyez désormais, le soleil est là.

C'est une aube nouvelle, un jour nouveau qui pointe à l'horizon...
Combien est belle
Cette aube nouvelle!
Combien est magnifique la douceur de ces rayons réchauffants du soleil...

L'entropie exulte et le soleil aussi...
La nuit pleure mais bientôt reviendra...
Le jour est là, jour plein de force et d'amour...

La vie nous enveloppe de ses normes et des ténèbres, nous nous élevons vers la lumière.

Sol Invictus ! Sol Invictus! Sol Invictus!

Faut croire qu'à la place, il pourrait y avoir juste des flocons de neige.
Nous mourrons certainement comme le loup, on fait tout pour cela en tous cas.

Je me suis endormi et j'ai senti la douleur de mes rêves

Je me suis réveillé et j'ai vu la noirceur du monde.

De noirs nuages épais ont envahi l'espace 

Et la terre a connu la rougeur des temps moroses.

L'éther rouge de sang enveloppe peu à peu

La ronde autrefois bleue.

 

Les plantes pleurent et se dessèchent

Alors que les cours d'eau fuient au loin se cacher

La plaine terre s'assèche doucement 

L'aridité se solidifie et tout se meurt

 

Tels les cours d'eau, nos larmes se retranchent,

Nos yeux s'assèchent et crèvent

Pourquoi? ils n'en savent rien.

C'est le début d'une époque nouvelle.

 

L'ADN est venu et doit repartir,

il sera transformé quoiqu'il en coûte.

 

L'homme doit être augmenté même contre son gré,

Parce que sa faiblesse doit disparaître

Et avec lui toutes ses croyances absurdes.

 

L'homme pleure, oui il pleure...

Plus que la plante

Plus que les cours d'eau,

Plus que l'éther.

Meurs donc sombre homme car ta fin est arrivée.

Meurs donc et disparaît puisque tu l'as choisi.

 

Fais énergiquement ta longue et lourde tâche

Dans la voie où tu as voulu t'emmener.

Puis après selon ton vœu, souffre et meurs sans parler...

 

Et le voile de l'extinction descend, 

Les acteurs se retirent,

Fin de la pièce. 

Acclamation des spectateurs?

Ah!

Il n'y en a pas.

 

Le soleil et la nuit se battent en moi

Ils ont vu et ils ont pris
Cela ne leur appartenait pas et ils ont pris
Parce que tout leur appartient, même ce qui n'est pas à eux
Et la vie continue pour eux et pour les victimes
Ils ont décidé que les choses seraient ainsi

La lumière déchire le voile des ténèbres

Regarde au loin et vois le soleil de lève majestueusement
Entends le vent qui souffle et reconnais le bruit de la lutte entre la lumière et les ténèbres
Touche ta terre ta terre natale la terre des autres
Tu n'es nulle part chez toi
Vis l'instant et oublié le reste
Oubliés tes rêves, oubliés tes cauchemars
Réalise l'illusion que t'offre la vie

Ahriman et les siens sont sur la place

La nuit tombe et les hordes de Béhémoth se lèvent
Qui pour les combattre
Arme-toi de courage sinon elles vont te décimer
Entre en toi-même et trouve ce qu'il y a de lumière en toi
Que feras-tu de ton amour
Que feras-tu de toi
Que feras-tu de tes illusions
Renie-toi et trouve-toi
Accepte les colonnes lucifériennes qui t'environnent
Bats-toi contre elles et bats-toi contre toi
Elles sont toi et tu es elles
Affronte-les
Donne-leur tout ce qui t'appartient
Ne leur demande rien
Depouille-toi de tout et vis à nouveau.

Le soleil et la nuit se battent en moi

Ils ont vu et ils ont pris
Cela ne leur appartenait pas et ils ont pris
Parce que tout leur appartient, même ce qui n'est pas à eux
Et la vie continue pour eux et pour les victimes
Ils ont décidé que les choses seraient ainsi

La lumière déchire le voile des ténèbres

Regarde au loin et vois le soleil de lève majestueusement
Entends le vent qui souffle et reconnais le bruit de la lutte entre la lumière et les ténèbres
Touche ta terre ta terre natale la terre des autres
Tu n'es nulle part chez toi
Vis l'instant et oublié le reste
Oublié tes rêves, oublié tes cauchemars
Réalise l'illusion que t'offre la vie

Ahriman et les siens sont sur la place

La nuit tombe et les hordes de Béhémoth se lèvent
Qui pour les combattre
Arme-toi de courage sinon elles vont te décimer
Entre en toi-même et trouve ce qu'il y a de lumière en toi
Que feras-tu de ton amour
Que feras-tu de toi
Que feras-tu de tes illusions
Renie-toi et trouve-toi
Accepte les colonnes lucifériennes qui t'environnent
Bats-toi contre elles et bats-toi contre toi
Elles sont toi et tu es elles
Affronte-les
Donne-leur tout ce qui t'appartient
Ne leur demande rien
Depouille-toi de tout et vis à nouveau.

Nous voici dans la nuit,

La lumière est éclatante et l'obscurité est abyssale,

 

Je vous salue enfants de la lumière,

Je vous salue enfants des ténèbres,

Je vous salue, qui êtes issus du même sein.

 

Nous voici dans la lumière,

Les ténèbres nous perdent et l'éclat nous guide.

 

Qui sommes-nous donc au milieu de tout ceci?

Avons-nous vraiment ces droits que nous nous octroyons?

Pourquoi nous considérons-nous si séparés?

Ne sommes-nous pas unité, de la naissance à la mort?

 

Nous voici dans le monde qui nous abrite,

La nature nous nourrit et nous protège autant qu'elle le peut.

Elle nous enseigne à tous les coups et veut du bien.

 

Voici se déchaînent des tempêtes et des ouragans.

Voilà les glaciers fondent à petites gouttes mais sûrement.

 

L'eau a longtemps souvent prouvé sa force

Le soleil, oui le feu dans toute sa grandeur

Aussi a imposé son empreinte sur nos pleurs.

Et voilà que nous plions chaque jour l'échine devant sa puissance.

La terre, toujours est restée clémente et pleine d'amour à notre égard.

 

 

Main dans la main, nous nous sommes aimés

Cœur à cœur, nous nous sommes tués.

Le souffle de la mort est apparu et s'est répandu.

La faux à la main se balade dans les rues.

 

Nous voici dans les villages et campagnes

Le jour autrefois sombre est désormais clair

la nuit, hier encore, lumineuse est moins maligne.

 

On s'enferme et on s'éloigne encore.

 

 

 

 

 

Voici venu le temps des amours; le temps de dire "Je t'aime"

Voici venu le temps des désirs et des envies effacés

Voici venu le temps des humanités vers l'humanité

Voilà, c'est maintenant le temps des joies non-blêmes.

 

Aimer le souffle, la boue, la feuille desséchée, Tout.

Le vent qui te caresse le poil te fait autant de bien

Que la tempête ravageuse qui te roue de coups

Et petit à petit se dénouent tous les liens.

 

Des années d'existence dans la dure souffrance,

Des périodes de cris et de douleurs inextinguibles,

Enfin, je découvre que ma vie n'est que errance.

 

La joie est grande et la nouvelle vie m'est agréable.

Mon cœur prisonnier de mes passions impies

Se dérobe de la nuit pour rentrer dans la vie

 

 

C'est gentil de votre part

Merci!

Noir, la vie est un long fleuve de colère

Rouge, les joies deviennent des colères noires

Vert, l'Amazone et les tropiques se colorent du sang rouge

Des déserts. la haine enjambe les couloir de la jalousie.

 

Origine: l'Or est tumultueux plein de fougue

La lumière se répand dans l'espace infini.

Les étincelles de beauté embrassent la matière et

Naissent alors les nuances de vie et déjà de mort.

 

Une rivière de sang, une mer d'hémoglobine océan de cris

La douleur est joie indescriptible et chaos est oranger

L'apaisant infrarouge dissipe le mal peu à peu

 

Et voici, sur un cheval blanc la lumière aveuglante

De l'ultraviolet; qui corrige et reconstruit de force

tout ce qui est couleur. L'étincelle s'est reconstruite

 

La mort ayant pris le dessus, s'en est rabattu

Les étincelles s'éteignent pour rentrer chez elle

La lumière rentre bientôt dans le puissant Or.

 

 

 

Presque tout dit est de tout ce grand espace vorace

De l'infiniment grand à l'infiniment petit,

Des multi-univers au Bozon de Higgs

La matière ici en son milieu se décompose...

 

Energie en mouvement, chagrin et colère,

Emotion: voici ton âme qui nait et se meut

Fiat Lux: les ténèbres se dissipent et la vie, Père.

Lumière et Vie; tout apparait, tout peut.

 

L'homme est donc cette lumière qui ne se connait point

Il est cette lumière qui se dissipe par les ténèbres

A peine a-t-il pu prendre conscience de lui même,

 

Que déjà, les ombres, bien avant, l'auront entrainé au trépas

La malédiction est inéluctable, de l'atome tu viens, de l'atome tu retournes

Chaque élément se reconnait en toi, Llama sabachtani!