Gouttes douces
Sous ton miroir d’argent
Cesse ton ombre esseulée
Et viennent les secondes apeurées
La nuit sommera à tes lèvres de se fermer
Et glissera sous ton oreiller
Pour ensevelir tes désirs
D’oubli.
- le hamster, M. de Saint-Michel et Minofabbri aiment ceci