« Là, pas d’espérance,
Nul orietur,
Science avec patience,
Le supplice est sûr ».
C’est toujours de « supplice » que nous parle l’auteur d’ « Une saison en enfer » :
« et enfin, quand on a faim et soif, quelqu’un qui nous chasse » ,
ou encore :
« ce ne peut être que la fin du monde, en avançant ».
Chaque auteur fait entendre une voix, qui peut être malheureuse, heureuse, victorieuse, défaite. C'est selon. Ici, il ne s’agit pas « de la musique avant toute chose » , mais d’un cri.
Un cri qui traverse le temps.
4/5/19
Nul orietur,
Science avec patience,
Le supplice est sûr ».
C’est toujours de « supplice » que nous parle l’auteur d’ « Une saison en enfer » :
« et enfin, quand on a faim et soif, quelqu’un qui nous chasse » ,
ou encore :
« ce ne peut être que la fin du monde, en avançant ».
Chaque auteur fait entendre une voix, qui peut être malheureuse, heureuse, victorieuse, défaite. C'est selon. Ici, il ne s’agit pas « de la musique avant toute chose » , mais d’un cri.
Un cri qui traverse le temps.
4/5/19
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