Tire, tire, tire sur la fermeture éclair,
et coince ta peau moulée dans tes jeans,
aux déhanchés sexy de kilobits aux textos illettrés,
frôlant les risques d'un monde fou,
aux étoffes interlopes,
feutrant les dérives d'un monde flou,
au flair fantôche.
Tire, tire, tire sur la fermeture éclair,
et coince tes jours moulés dans ton planning
dans la vie opaque des visages clonés de masse,
mouillés au brumisateur buée d'une vie suée,
aux larmes cachées,
souriants à l'alcool frustré d'une vie engoncée,
aux larmes séchées.
Source : Fermeture éclair