Les puissants et leur arrogance sont présents,
à toute danse funèbre de la glèbe.
La glèbe qu'ils soumettent de leur membre trop fier,
jeux d'enfants terribles qui ploient l'espoir du faible à terre,
plaisir carnassier où la barbarie s'excite, corrida à la giclée de sang du public.
Plaisir caché ou public tournant autour de leur nombril,
forteresse imprenable, blindée de haine et de mépris.
Mépris dont ils salissent les âmes simples à l'affût de beautés gratuites,
dont elles se suffisent, inspiration aux voiles gonflées de rires libres.
Source : Les puissants
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