
claus Blog
Au vif du temps, j'attrape ta main et glisse à nouveau et m'agrippe sûre,
avec la force de tes muscles convaincus de cordes à la tendresse du dur,
bien au-dessus du néant, aux nœuds étranglant les cous à la soif sans désert,
bien au-dessus du néant, à la flèche droite qui élève fière le...
avec la force de tes muscles convaincus de cordes à la tendresse du dur,
bien au-dessus du néant, aux nœuds étranglant les cous à la soif sans désert,
bien au-dessus du néant, à la flèche droite qui élève fière le...
Drôle d'odeur à l'écoeure moisi aux rancoeurs mal assouvies,
qui tachent, verdâtres, le fond des voix à l'inspiration ralentie,
et s'étend pour gâter le fruit entier au noyau sec et bref de mépris.
Drôle d'odeur à l'écoeure ranci aux douleurs asservies,
qui empestent, aigres, les zones fr...
qui tachent, verdâtres, le fond des voix à l'inspiration ralentie,
et s'étend pour gâter le fruit entier au noyau sec et bref de mépris.
Drôle d'odeur à l'écoeure ranci aux douleurs asservies,
qui empestent, aigres, les zones fr...
Quand j'ai la cervelle qui veut prendre l'air,
j'invente deux ou trois mots pour faire un vers,
à aimanter gracieusement le fer
d'un deuxième, d'un troisième qui s'enchainent
au collier de perles nacrées de bien-être,
et ainsi de suite...
Quand j'ai la cervelle qui veut prendre l'air,
je t'invente comme ceci ou comme cela a...
j'invente deux ou trois mots pour faire un vers,
à aimanter gracieusement le fer
d'un deuxième, d'un troisième qui s'enchainent
au collier de perles nacrées de bien-être,
et ainsi de suite...
Quand j'ai la cervelle qui veut prendre l'air,
je t'invente comme ceci ou comme cela a...
Sérénité appelée au détaché des entrailles qui versent dans l'âme,
la rende forte et flamme au foyer du cœur frappant lent,
aux cendres calmes à l'union restée blanche d'imaginé,
et consacrée au singulier dans l'abstrait de rêves parcheminés…
Sérénité au baiser long...
la rende forte et flamme au foyer du cœur frappant lent,
aux cendres calmes à l'union restée blanche d'imaginé,
et consacrée au singulier dans l'abstrait de rêves parcheminés…
Sérénité au baiser long...
Derniers billets
-
Depuis : Le seveux sur la langue02 mai 2019
-
Depuis : Le seveux sur la langue02 mai 2019
-
Depuis : Rêve mouillé01 mai 2019
-
Depuis : Quelques mots01 mai 2019
-
Depuis : Le chant du poète30 avril 2019
Derniers commentaires
-
Depuis : Cherche un couplet...William Valant - déc. 29 2018 04:56
-
Depuis : Présenceclaus - oct. 16 2018 05:59
-
Depuis : RêverieEsterina - oct. 07 2018 02:59