Maurice Scève, as-tu assez dit les tourments,
et peint assez longtemps de ton amour les flammes,
pour reposer, enfin, là, dans le firmament,
à cette place où vont des poètes les âmes,
as-tu suffisamment chanté cette « Délie »,
au paraître, à jamais, à nos yeux...
et peint assez longtemps de ton amour les flammes,
pour reposer, enfin, là, dans le firmament,
à cette place où vont des poètes les âmes,
as-tu suffisamment chanté cette « Délie »,
au paraître, à jamais, à nos yeux...