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Victor Hugo




Poèmes de cet auteur disponibles à la lecture :

1er janvier, A André Chénier, Abîme - L'Homme, Abîme - La Voie Lactée, A celle qui est restée en France, A celle qui est voilée, A ceux qu'on foule aux pieds, A des oiseaux envolés, A des âmes envolées, Adieux de l'hôtesse arabe, Aimons toujours ! Aimons encore !..., Air de la princesse d'Orange, A Jeanne, A l'Arc de triomphe, A l'enfant malade pendant le siège, A la fenêtre, pendant la nuit, A la mère de l'enfant mort, A M. Froment Meurice, A Madame D. G. de G., A mademoiselle Louise B., A ma fille, Amis, un dernier mot !, A Mlle Fanny de P., Amour secret, A Petite Jeanne, Apparition, A propos d'Horace, A propos de dona Rosa, Après l'hiver, Après la bataille, A qui la faute ?, A quoi songeaient les deux cavaliers ..., Attente, Au bois, Au bord de la mer, Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée, A une femme, A une jeune fille, A un homme partant pour la chasse, A un poète, A un poète aveugle, Au peuple, Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève, Autre chanson, Aux arbres, Aux Feuillantines, Aux morts du 4 décembre, Aux proscrits, A Vianden, A Villequier, A Virgile, Bièvre, Bon conseil aux amants, Booz endormi, Bêtise de la guerre, C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde, C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux, C'était la première soirée, Canaris, Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille, Ce qu'on entend sur la montagne, Ce que c'est que la mort, Ce que dit la bouche d'ombre (I), Ce que dit la bouche d'ombre (II), Ce qui n'a pas encore de nom, Ce siècle avait deux ans, Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène, Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent, Chanson (L'Ame en fleur), Chanson (Proscrit, regarde les roses...), Chanson d'autrefois, Chanson d'autrefois (autre), Chanson de Gavroche, Chanson de grand-père, Chanson de pirates, Chanson des oiseaux, Chanson du bol de punch, Chanson pour faire danser en rond les petits enfants, Chant sur le berceau, Charles Vacquerie, Choses du soir, Commencement d'une illusion, Conclusion, Cri de guerre du mufti, Crépuscule, D'après Albert Dürer, Danger d'aller dans les bois, Dans l'alcôve sombre, Dans l'ombre, Dans la forêt, Dante écrit deux vers, Demain, dès l'aube..., Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme, Depuis six mille ans la guerre, Deux voix dans le ciel, Dicté en présence du glacier du Rhône, Dieu fait les questions pour que l'enfant réponde, Du haut de la muraille de Paris, Ecrit après la visite d'un bagne, Ecrit au bas d'un crucifix, Ecrit sur le tombeau, Elle avait pris ce pli ..., Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer, Elle était déchaussée, elle était décoiffée..., Elle était pâle, et pourtant rose..., En hiver la terre pleure, En mai, En marchant la nuit dans un bois, En marchant le matin, En sortant du collège, Enthousiasme, Envoi des feuilles d'automne, En écoutant chanter la princesse ***, Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !, Et Jeanne à Mariette a dit, Exil, Explication, Fenêtres ouvertes, Fonction du poète, Fuite en Sologne, Fulgur, Garde à jamais dans ta mémoire, Georges et Jeanne, Guitare, Halte en marchant, Heureux l'homme occupé ..., Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles, Horror, Il fait froid, Insondable, immuable, éternel, absolu, J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline, J'aime l'araignée, J'aime un petit enfant, et je suis un vieux fou., Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !, Jeanne chante ; elle se penche, Jeanne dort, Jeanne endormie, Jeanne fait son entrée, Jeanne songeait, Jeanne était au pain sec..., Je la revois, après vingt ans, l'île où Décembre, Je n'ai pas de palais épiscopal en ville, Je ne me mets pas en peine, Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose, Je prendrai par la main les deux petits enfants, Je pressais ton bras qui tremble, Je racontais un conte, Je sais bien qu'il est d'usage..., Je suis enragé. J'aime, Je suis fait d'ombre et de marbre, Je suis naïf, toi cruelle, Je t'aime, avec ton oeil candide, Je travaille, Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir, Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites, Joies du soir, Jolies femmes, Jour de fête, Jour de fête aux environs de Paris, L'art et le peuple, L'aube est moins claire..., L'autre, L'enfance, L'enfant, L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours, L'ombre, L'univers, c'est un livre..., L'échafaud, La blanche Aminte, La captive, La chanson de Maglia, La cicatrice, La coccinelle, La douleur du pacha, Laetitia rerum, La Figliola, La fête chez Thérèse, La hache ? Non. Jamais..., Laissez. - Tous ces enfants sont bien là, La méridienne du lion, La nature, La nature est pleine d'amour, La nichée sous le portail, La pauvre fleur disait au papillon céleste, La pente de la rêverie, La plume de Satan, La prisonnière passe..., La rose de l'infante, La sortie, La source tombait du rocher, La statue, La sultane favorite, La Terre - Hymne, La tombe dit à la rose, La vie aux champs, La ville prise, La vision de Dante, Lazzara, Le cantique de Bethphagé, Le champ du potier, Le couchant flamboyait à travers les bruines, Le crapaud, Le crucifix, Le deuil, Le doigt de la femme, Le firmament est plein de la vaste clarté, Le hibou, Le manteau impérial, Le mendiant, Le pot cassé, Le poème éploré se lamente, Le poète bat aux champs, Le poète dans les révolutions, Le poète s'en va dans les champs, Le Progrès calme et fort..., Le ravin, Le rouet d'Omphale, Le sacre de la femme - Ineffable lever..., Le sacre de la femme - Ève, Le satyre, Les autres en tout sens laissent aller leur vie, Les Djinns, Les enfants lisent, troupe blonde, Les enfants pauvres, Les femmes sont sur la terre..., Les forts, Les fusillés, Les innocents, Les martyres, Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées, Le soleil était là qui mourait dans l'abîme, Les pauvres gens, Les paysans au bord de la mer, Les tronçons du serpent, Le trouble-fête, Lettre à une femme, Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille, Liberté !, Lise, Lorsque l'enfant paraît, Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure, Lux, Magnitudo parvi, Mais tu brûles !, Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé, Malédiction, Melancholia, Mes deux filles, Mes poèmes !, Mors, Mugitusque boum, N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente, Non, Nos morts, Nous, Nous allions au verger cueillir des bigarreaux, Nouvelle chanson sur un vieil air, Nuit, Nuits d'hiver, Nuits de juin, Oceano nox, Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre, Oh ! je fus comme fou..., Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !, Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée, Oh ! quand je dors..., Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage, On vit, on parle..., Oui, je suis le rêveur ..., Où donc est la clarté ? Cieux, où donc est la flamme ?, Paris bloqué, Paris incendié, Paroles sur la dune, Passé, Pasteurs et troupeaux, Pendant que le marin..., Pepita, Petit Paul, Pleurs dans la nuit, Premier mai, Printemps, Promenades dans les rochers (II), Promenades dans les rochers (III), Promenades dans les rochers (IV), Puisqu'ici-bas toute âme, Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine, Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame, Puisque nos heures sont remplies, Quand la lune apparaît dans la brume des plaines, Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée, Quand les guignes furent mangées,, Quand nous habitions tous ensemble, Que t'importe, mon coeur, Regardez : les enfants se sont assis en rond, Regard jeté dans une mansarde, Ronde pour les enfants, Rêverie, Saison des semailles. Le soir, Sara la baigneuse, Satan dans la nuit - I, Satan dans la nuit - II, Satan pardonné, Sous les arbres, Souvenir de la nuit du 4, Spectacle rassurant, Stella, Sur la falaise, Sur une barricade, Suzette et Suzon, Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence, Toute la vie d'un coeur - 1819, Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt, Toute la vie d'un coeur - 1826, Tristesse d'Olympio, Trois ans après, Tu me vois bon charmant et doux ..., Tu rentreras comme Voltaire..., Une bombe aux Feuillantines, Une femme m'a dit ceci : - J'ai pris la fuite, Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir, Une nuit à Bruxelles, Un grand sabre serait d'utilité publique, Un groupe tout à l'heure était là sur la grève..., Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble, Unité, Un jour au mont Atlas, Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants, Un jour je vis le sang couler de toutes parts, Un manque, Un soir que je regardais le ciel, Vere novo, Vers 1820, Vieille chanson du jeune temps, Viens ! - une flûte invisible, Vision sombre ! un peuple en assassine un autre, Vivants, Voeu, Voici que la saison décline, Vois, cette branche est rude, elle est noire..., Voyons, d'où vient le verbe ? Et d'où viennent les langues ?, Vénus, Âme ! être, c'est aimer..., Éclaircie, Épitaphe de Jean Valjean, Être aimé, Ô Charles, je te sens près de moi..., Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute, Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse, Ô Rus, Ô soldats de l'an deux ! ..., Ô temps ! si l'on pouvait dans ton urne profonde


HUGO
Naissance : 1802
Deces: 1885
Pays: FRANCE


Biographie de VICTOR HUGO :

Victor Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du xixe siècle.
 
Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au xixe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété1,2. Il est poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades (1826), Les Feuilles d'automne (1831) ou Les Contemplations (1856), mais il est aussi poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore poète épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877).
 
Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 18273 et l’illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838.
 
Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur la peine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance abondante.
 
Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre ; il a été admiré par ses contemporains et l’est encore, mais il a été aussi contesté par certains auteurs modernes. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises de position qui le condamneront à l’exil pendant les vingt ans du Second Empire.
 
Ses choix, à la fois moraux et politiques5, durant la deuxième partie de sa vie, et son œuvre hors du commun ont fait de lui un personnage emblématique que la Troisième République a honoré à sa mort le 22 mai 1885 par des funérailles nationales6 qui ont accompagné le transfert de sa dépouille au Panthéon de Paris, le 31 mai 1885.
 



Bibliographie de VICTOR HUGO :

1822 : Odes et poésies diverses
1824 : Nouvelles Odes
1826 : Odes et Ballades
1829 : Les Orientales
1831 : Les Feuilles d'automne
1835 : Les Chants du crépuscule
1837 : Les Voix intérieures
1840 : Les Rayons et les Ombres
1853 : Les Châtiments
1856 : Les Contemplations
1859 : Première série de la Légende des siècles
1865 : Les Chansons des rues et des bois
1872 : L'Année terrible
1877 : L'Art d'être grand-père
1877 : Nouvelle série de la Légende des siècles
1878 : Le Pape
1879 : La Pitié suprême
1880 : L'Âne
1880 : Religions et religion
1881 : Les Quatre Vents de l'esprit
1883 : Série complémentaire de la Légende des siècles
Recueils posthumes :
1886 : La Fin de Satan
1891 : Dieu et 1941
Choix de poèmes parmi les manuscrits de Victor Hugo, effectués par Paul Maurice :
1888 : Toute la Lyre (1893, 1893, 1835-1937),
1893 : Nouvelle série de Toute la Lyre
1898 : Les Années funestes
1902 : Dernière Gerbe et 1941 (le titre n'est pas de Victor Hugo)
1942 : Océan. Tas de pierres



En savoir plus (source : wikipedia)




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